
Le thé dansant vient de se terminer. Quelques pas de danse, le thé, les gâteaux, les amis. Les bons moments se répètent avec délice. Une envie d’écrire, de laisser une trace, la plume me démange. Pas de projet d’écriture précis, un titre me vient en tête, non invité : Une vie monacale. Je ne sais pas comment c’est arrivé, je le garde. Dans la situation que nous vivons, le titre est outrancier, susceptible d’être soumis aux feux des critiques. Tant pis !
Il est notoire que la vie du croisiériste est limitée à...
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